Au Cafe des Amateurs, Paris 1997
10:40 AM Posted In existentialism , francais , French , journal , Paris Edit This 0 Comments »
Vendredi, le 10 Octobre, 1997
C’est l’apres midi. Il fasait mal ce matin. Maintenent il fait du soleil, mais je suis dans l’ombre. Je reste dans la meme café, je pense, laquelle Hemingway a frequente il y a pleusieurs ans; Café des Amateurs. Je viens voir un musicien dans la rue Mouffetard jouer du guitarre. Il etait merveilleux, calme, et melodique, ca m’a rappelee Nick Drake. Il est americain, mais je n’ai pas parle a lui – je n’ai que lui donne deux francs. Alors, je m’inquiete parce qu’il me manque six francs payer ce café pour le the. J’espere que le serveur ne deviendra pas tres fache avec moi.
Je ne parle pas assez de francais ici, en France, a Paris. je suis stupide. Je veux arreter sortir avec les americains, sauf de temps en temps. Vraiment, je suis ici pour ne pas etre americanine, et ce que j’ai fait du moment d’arriver etait exactement ca. je veux bien parler et sortir avec Marisa – elle est vachement interessante, mais elle n’est jamais chez elle. J’ai laisse un message avec la proprietrice de son foyer, donc je souhaite qu’elle arrivera me rappeler.
J’ai recu un deuxieme letter de Dave. Il me donne toujours l’inspiration… pour etre vivante and pour ne pas suiver la foule. C’est interessante, la semantique: folle/ foule / folie. Etre avec beaucoup de gens, ce’st la folie. J’arrive a aimer la langue francaise, meme si je ne le parle pas beaucoup. Je veux rencontrer des personnes qui volent dans l’immaginaire pour que la mienne devient renouvelee.
La vie post-scolaire, je la goute maintenant. Les etudes n’ont pas encore commence. Mais la difference maintenant est que tout est deja paye et je n’ai pas besoin de gagner l’argent pour cette annee. C’est une reve. C’est parfait. C’est la liberte d’etre. Malheureusement ce n’est point la realite.
L’ecriture c’est un art, on doit travailler pour le faire. Est-ce qu’il n’y a rien qui soit pure? Si on est genius, c’est tout naturel, mais si on ne l’est pas on doit travailler pour le rendre parfait, n’est-ce pas? Mais pour moi de temps en temps (je parle de l’anglais bien sur) l’ecriture est le plus pure expression de mon ame, il me semble que c’est parfait pour expliquer quelquechose specifiquement, sans avoir travallier, sans avoir besoin de corriger, parfait comme il est dans le moment. Des pensees pures.
J’ai remarque que je devienne impatiente plus vitement qu’avant. je ne peux pas supporter rester dans un endroit pour longtemps. je pense que ca c’est le signe que c’est l’heure de partir maintenant.
L’esprit de quelqu’un qui vient de s’asseoir derriere de moi est entre dans le monde autour de moi. Ca toujours arrive a moi. Aussi il y a quelqu’un quie me semble fou devant de moi, devant la fontaine au milieu de la place. Au pieds-nues, il parle rapidement a soi-meme en mangeant une pomme. Un homme en jupe me passe et je lui donne un petit esprit-mot, “je te supporte,” avec un sourire ephemeral.
Il ne reste que de l’eau sucre, citron, et l’histoire que je dois raconter en ce qui concerne mon manque de l’argent. Merde. je l’offrirai de faire la vaisselle.
Pourquoi j’air peur des gens? Toujours, toujours, encore.
C’est l’apres midi. Il fasait mal ce matin. Maintenent il fait du soleil, mais je suis dans l’ombre. Je reste dans la meme café, je pense, laquelle Hemingway a frequente il y a pleusieurs ans; Café des Amateurs. Je viens voir un musicien dans la rue Mouffetard jouer du guitarre. Il etait merveilleux, calme, et melodique, ca m’a rappelee Nick Drake. Il est americain, mais je n’ai pas parle a lui – je n’ai que lui donne deux francs. Alors, je m’inquiete parce qu’il me manque six francs payer ce café pour le the. J’espere que le serveur ne deviendra pas tres fache avec moi.
Je ne parle pas assez de francais ici, en France, a Paris. je suis stupide. Je veux arreter sortir avec les americains, sauf de temps en temps. Vraiment, je suis ici pour ne pas etre americanine, et ce que j’ai fait du moment d’arriver etait exactement ca. je veux bien parler et sortir avec Marisa – elle est vachement interessante, mais elle n’est jamais chez elle. J’ai laisse un message avec la proprietrice de son foyer, donc je souhaite qu’elle arrivera me rappeler.
J’ai recu un deuxieme letter de Dave. Il me donne toujours l’inspiration… pour etre vivante and pour ne pas suiver la foule. C’est interessante, la semantique: folle/ foule / folie. Etre avec beaucoup de gens, ce’st la folie. J’arrive a aimer la langue francaise, meme si je ne le parle pas beaucoup. Je veux rencontrer des personnes qui volent dans l’immaginaire pour que la mienne devient renouvelee.
La vie post-scolaire, je la goute maintenant. Les etudes n’ont pas encore commence. Mais la difference maintenant est que tout est deja paye et je n’ai pas besoin de gagner l’argent pour cette annee. C’est une reve. C’est parfait. C’est la liberte d’etre. Malheureusement ce n’est point la realite.
L’ecriture c’est un art, on doit travailler pour le faire. Est-ce qu’il n’y a rien qui soit pure? Si on est genius, c’est tout naturel, mais si on ne l’est pas on doit travailler pour le rendre parfait, n’est-ce pas? Mais pour moi de temps en temps (je parle de l’anglais bien sur) l’ecriture est le plus pure expression de mon ame, il me semble que c’est parfait pour expliquer quelquechose specifiquement, sans avoir travallier, sans avoir besoin de corriger, parfait comme il est dans le moment. Des pensees pures.
J’ai remarque que je devienne impatiente plus vitement qu’avant. je ne peux pas supporter rester dans un endroit pour longtemps. je pense que ca c’est le signe que c’est l’heure de partir maintenant.
L’esprit de quelqu’un qui vient de s’asseoir derriere de moi est entre dans le monde autour de moi. Ca toujours arrive a moi. Aussi il y a quelqu’un quie me semble fou devant de moi, devant la fontaine au milieu de la place. Au pieds-nues, il parle rapidement a soi-meme en mangeant une pomme. Un homme en jupe me passe et je lui donne un petit esprit-mot, “je te supporte,” avec un sourire ephemeral.
Il ne reste que de l’eau sucre, citron, et l’histoire que je dois raconter en ce qui concerne mon manque de l’argent. Merde. je l’offrirai de faire la vaisselle.
Pourquoi j’air peur des gens? Toujours, toujours, encore.
0 comments:
Post a Comment